Une enfance pas facile.

Messages : 69 Date d'inscription : 17/02/2014

Description de James:

Chapitre Premier: Les choses tournes mal.

Musique d'Ambiance

James Nolric, née en l'an 6, dans la cité de Hurlevent. Second fils d'une famille mal aisé, née de l'alliance de Lynda Nolric et Marc Nolric. Il grandit dans la précarité des bas quartiers de Hurlevent, un père décédé d'une pneumonie lorsque James n'avait que sept ans, élevé par une mère dépassée par les événements, le frère aîné tombé dans l'illégalité pour ramener un peu d'argent à la maison. Ce même frère aurait dû avoir pour James un rôle de père et d'exemple, mais le destin en fit autrement.

L'éducation de James fut clairement négligée et lui comme son aîné tomba dans la délinquance d'abord pour essayer d'amasser quelques pièces, mais il chuta dans le cercle vicieux des domaines et organisations criminelles, qui ne permettent pas l'arrêt.

Ce n'était pas la menace ni l'adrénaline qui motiva James à poursuivre sur cette route, mais c'est qu'il s'y plaisait fortement et gagnait bien sa vie. C'était la seule chose qu'il savait faire et il était persuadé qu'il ferait toujours cela.

Après plusieurs années de baroudage en tous genres, son frère l'avait présenté à l'un des groupes “d'amis” avec lequel il avait l'habitude d'opéré pour les “missions” que Denis, son frère aîné, n'avait jamais voulu que James entreprêne avec lui. Le groupe était composé de trois personnes, Lucas, le pseudo-chef, Rose, la rousse mystérieuse et Daniel, un pauv'gamin pommé tout autant que James.

Encore quelques années passèrent et des liens ce tisèrent entre le petit groupe de délinquant, tout avait un rôle, l'un meilleur dans le crochetage pendant que l'autre apportait son savoir sur la dissimulation. Un lien particulier se lia entre James et Rose, ils étaient devenu au fil des années plus que des amis, James s'était même fait tatouer une rose sur haut de son bras droit, pour prouver son amour envers sa bien-aimée. La veille dès dix-huit ans de James, un gros coup se préparait. Les comparses allaient cambrioler un bijoutier du quartier des nains, mais rien, vraiment rien ne se passa comme prévu.

James regardait la pluie tombé sur les toits d'Hurlevent, l'esprit perdu, puis il senti un bras le tiré.

-“Qu'est tu fou James ?!” Dit Lucas d'une voix forte.
-“On n'a pas que ça à foutre je te rappelle.” Soutena Denis.
-“J'aime pas bosser quand il pleut merde !” Rétorqua James, suivant au pas de course le groupe.
- “Tu n'aimes pas bosser tout court.” Dit Rose avec un sourire moqueur.

En effet, il pleuvait des trombes d'eau en cette nuit sans lune tellement les nuages étaient épais. Le petit groupe encapuchonnées faufila à travers Hurlevent, ce méfiant pour éviter de croiser le moindre factionnaire. Au détour d'une ruelle, ils purent enfin voir leurs objectif. La petite échoppe du bijoutier n'était plus qu'à quelques mètres. Denis, qui était le meilleur pour le crochetage, entreprit d’ouvrir la porte en bois de l'échoppe pendant que les autres faisaient le guet. La porte s'ouvrit et qu'elle ne fut pas la surprise de voir le bijoutier assoupie sur la chaise devant son atelier.

-“Mais qu'est qu'y fou là ?!” Chuchota Daniel. “Tu avais dit qu'il partait rejoindre sa famille à partir de dix heures .!”
“ J'en sais rien merde ! Sa femme la peut être virée de chez lui qu'est que j'en ai à foutre . On suit le plan point !” Rétorqua Lucas sur le même ton.
-“Et qu'est qu'on fait de lui .” Demanda Denis.
-“Lui je m'en occupe …” Dit Lucas sur un ton sombre.
-“Tu comptes pas lui faire la peau .! Tu es malade ! je veux bien plonger pour vole mais pas pour meurtre !” Susurra James.
-“Et on fait comment pour le plumé sans qu'il se réveille gros malin ?” Demanda Lucas en sortant une dague de son pantalon en toile de jute.

Le groupe avait l'air tout en accord avec James … Certes ils avaient tous fait des choses peu honorable … Mais tuait un mec …Ce n'était pas la même chose.
À peine quiconque nue l'occasion de dire quoi que ce soit que Lucas s'élança en direction du bijoutier assoupit.

-“NON !” Cria James, réveillant par la même occasion le bijoutier.
-“Mais qu'est-ce que c'est que …” Commença le bijoutier.

Le cri que lâcha le bijoutier se fit entendre dans tout les quartiers, alertant par la même occasion tout les factionnaires du coin. Des bruits de claquements d'armure et de bottes ce faisaient déjà entendre au loin.

“Ils arrivent ! Faut ce cassé d'ici !” Cria Rose avant de disparaître dans la ruelle.

Le petit groupe ce faufilant dans Hurlevent.

Suite au prochain épisode ...

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Second Chapitre: Une triste fin pour un triste gamin.

Musique d'Ambiance

“Ils arrivent ! Faut ce cassé d'ici !” Cria Rose avant de disparaître dans la ruelle.

Les gardes n'êttaients plus très loin quand James est son frère sortir en furie de l'échoppe, mais comment faire pour s’enfuir ? C'était un cul-de-sac, et les gardes se trouvaient déjà à l'autre bout de la ruelle. James commençait à s'affolé. « je ne vais pas finir en taule pour ses conneries … Ce n'est pas possible » ce dit le petit gamin de 17 ans. Puis il sentait son frère le tiré par le bras.

« Là ! On va monter sur les toits ! » Dit Denis avant de gripper par une échelle de charpentier posé contre une vieille maison délabrée sur la droite.

Les deux garçons grimpèrent plus vite qu'ils ne l'avaient jamais fait, car en effet, ce n'était pas une première pour nos deux compères, habitué à monter sur ces toits en tuile glissante pour parcourir la ville. À peine les deux garçons sur le toit, ils purent voir Daniel sortir avec une dague à la main en fonçant sur un garde puis … Un coup de feu en pleine poitrine faucha Daniel dans sa charge. « Mais qu'est qu'a bien pus lui passer par la tête ! » Pensa James qui ce mis à courir. Mais les gardes les avaient repérés et les suivaient depuis le sol, tirant quelques balles au moment qu'ils jugeaient propos. Les deux frères peinaient à progresser, même s'ils avaient l'habitude, ce soir, les circonstances étaient plutôt particulières. La pluie rendait les tuiles aussi glissante que de la glace et les tire des gardes n’arrangeaient rien.

« Magne toi ! » Cria Denis en se retournant. Mais tourné le dos vers son frère voulait dire qu'il n'avait plus les yeux sur les tuiles des toits. Une erreur fatale … Denis n’eut même pas le temps détournée complètement la tête vers son frère que son pied glissa sur la mousse d'une tuile. Il tomba sur sa hanche et glissa du toit … Une chute de 9 mètres sur la tête … Il n’eut même pas le temps de souffrir. James regarda son frère gisant quelques mètres plus bas, le crâne fêlé, ce vidant de son sang. James ne dit rien, ne tenta pas de rejoindre son frère, il restât juste là, peut être dû au choc, ou bien au fait que son frère et lui eurent plu des relation « professionnel » que personnel. « Qu'est que je vais dire à maman Denis … » Pensa James. Cependant, une balle lui frôlant le bras le ramena à la dure réalité. Les gardes se trouvaient au niveau du corps de Denis. James couru, et courut, et courut encore sous cette pluie qui devenait torrentielle.

Il réussit à semer les gardes et rentra chez lui, trempé et éreinté, il partit ce couché dans son lit qu'il partageait avec son frère, mais ce soir, il savait qu'il pouvait prendre de la place, son frère ne reviendra pas …

Denis fut incinéré suite à l'enquête de la Garde et les cendres remises à sa mère. James appris grâce au garde qui avait amené les cendres de son frère que Lucas fut emmené en prison pour meurtre et tentative de vol. Il apprit aussi que les gardes n'avaientpas la moindre idée d’où se cachaient les deux complices encore vivant, ni de leur identité vue qu'ils étaient encapuchonnés.

« C'était à toi de me surveiller … Pas l'inverse ... » Dit James en relâchant les cendres de son frère au port de Hurlevent. C'était l'endroit préféré de Denis, il disait qu'en regardant cette étendue d'eau, il oubliait tous les soucis de sa vie. James n'avait jamais vraiment compris ce que Denis pouvait entendre par la avant ce jour.

Ici, sur cette étendue d'eau tout était plus beau … Tout était … Différent.

Suite au prochain épisode ...

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Troisième Chapitre: Une drôle de soirée.

Musique d'Ambiance

Ici, sur cette étendue d'eau tout était plus beau … Tout était … Différent.

La mère de James décéda quelques mois après son frère, encore la maladie, pas une grande perte pour James, juste une charge en moins pensa-t-il. Il vendit alors la petite maison familiale pour des clous, allant s'installer à l'auberge la plus proche, c'était les meilleurs moyens de trouver un boulot.

Quelques années calmes passèrent, après avoir passé le plus clair de son temps à nettoyé les cuisines, James s'était habitué à ce style de vie. Ce n'était certes pas incroyable ni réjouissant mais cela lui permettait de manger et de se loger sans avoir peur de la moindre ombre derrière son épaule.

Un soir comme les autres, le service de l'auberge était fini à une heure du matin, James était dans son lit à l'étage depuis une bonne trentaine de minutes. Puis un boucan terrible se fit entendre depuis le rez-de-chaussée. James enfila rapidement un pantalon en toile de jute et attrapa une dague qu'il cachait sous son oreillé et sprinta vers l'échalier qui menait au rez de chausser.

Devant les yeux de James se déroulait un combat féroce. En effet,trois hommes vêtus de noir et armés de dagues faisaient face au patron de l'auberge et son fils qui eux, n'avaient que des couteaux de cuisine.

James plongea sur l'un des individus masqués mais il se rendit vite compte que ce n'était pas des petits malfrats, mais de vrai professionnel à qui il avait affaire, à peine au contact de l'homme masqué, il disparut pour se retrouver derrière James et lui planta sa dague dans le flanc droit ce qui fit chuter James au sol.

De là, l'assassin le laissa comme on laissait une serpillière au sol. James à moitié conscient put tout de même voir ce qui se passait dans la taverne. Les hommes discuter ensemble mais l'ambiance était encore plus électrique. James crue comprendre que l'aubergiste avait trempé dans des affaires pas très légales et les hommes encapuchonnés étaient venus pour lui régler son compté, ce qu'ils firent sans attendre.

Les assassins en finirent avec une facilité déconcertante avec l'aubergiste et son fils, un coup de dagues chacun dans la gorge et c'était fini … “On est peu de chose ...” ce dit James. Puis les hommes ce retournèrent pour sortir et l'un d'eux remarqua que James avait encore les yeux ouverts.

“Espèce d'idiot ! Tu es même pas foutue de buter un gamin ! Faut vraiment tout faire à ta place merde !” Dit l'un des hommes en s'approchant de James, une dague à la main.

“Alors … C'est comme ça que je vais finir … Une mort aussi idiote que mon frère ...” ce dit James.

“ Non, lui, on l'emmène.” Dit l'homme qui semblait être le chef avant d'envoyer un coup de botte dans la tête de James qui l'assomma.