Nom : Forgate
Prénom : Edward
Age : La trentaine
Origine : Lordaeron
Race : Humain
Pourquoi nous ? : Aucune raison en particulier. Je n'avais ni l'envie, ni le dessein de m'éterniser trente mille étés sur les différents groupes mercenariats qui sévissaient dans les alentours.
Comment avez-vous appris notre existence ? : Par les affiches que vous aviez posé de-ci de-là des ruelles de la ville. Je suis tombé dessus comme d'autres hommes avant moi.
Vos motivations : J'aime le Haut-Roi, au même titre que j'aime le Clergé ; on peut me taxer de patriote fanatique comme d'un abruti notoire, mais il n'empêche que mon amour envers l'Alliance fait que je me trouve ici actuellement. Et je sais, au par-delà de ça, qu'être mercenaire signifie être neutre dans les conflits apportés par les factions, mais peu m'importe, pourvu que ce titre me permet d'aller jouer au baptême de l'air avec les cervelles des truands, des récidivistes ou même de tout autre personne sous contrat.
Vos compétences : J'ai combattu durant la Deuxième Guerre, en plus d'avoir tabassé la non-mort lors de la chute de Lordaeron et d'avoir dû rejoindre les ordres para-militaires peu après. J'estime savoir me débrouiller avec une masse d'armes, une épée bâtarde, une dague, une arbalète ou encore une pistole. Je laisse les marteaux de guerre, les espadons et tous ces machins-là aux chevaliers.
Votre histoire : Je ne vais pas m'attarder sur ce sujet-là. Je suis né et ai vécu pendant plusieurs années à Lordaeron, avant que notre prince devienne fel et aille trahir son peuple. Par la suite, je me suis joins à un groupe (comme précisé ci-dessus) para-militaire ayant pour dessein d'aller exterminer la non-mort - je tiens toutefois à préciser que ce groupe n'était pas l'amas de putains dégénérées qu'étaient les croisés écarlates.
Notre groupe s'est disloqué suite à la mort de notre capitaine, et nous dûmes, moi et des hommes, rejoindre le Sud en direction du royaume d'Azeroth. C'est là que j'ai appris les valeurs de la Nouvelle Alliance et que j'ai suivi l'actualité de celle-ci de par la chute de Gilnéas comme le réveil du Dragon. Depuis, je suis plus oisive qu'autre chose, et hormis foutre le souk sur la place en criant haut et fort mon amour pour le Haut-Roi et ma haine envers les worgens sauvages, rien ne me va.
Tout est dit.